Le troisième volume de ce commentaire de l’Apocalypse de Jésus-Christ, Les deux témoins, le dragon et ses deux bêtes. Les coupes de la colère de Dieu, nous fait entrer au cœur du combat gigantesque qui oppose Jésus-Christ et son Église, aux puissances du mal si actives dans l’histoire des hommes : le Dragon (ou le diable) et ses deux acolytes funestes, la première bête, un pouvoir totalitaire et la seconde une culture universelle animée par le mensonge sous toutes ses formes.
Le troisième volume de ce commentaire de l’Apocalypse de Jésus-Christ, Les deux témoins, le dragon et ses deux bêtes. Les coupes de la colère de Dieu, nous fait entrer au cœur du combat gigantesque qui oppose Jésus-Christ et son Église, aux puissances du mal si actives dans l’histoire des hommes : le Dragon (ou le diable) et ses deux acolytes funestes, la première bête, un pouvoir totalitaire et la seconde une culture universelle animée par le mensonge sous toutes ses formes.
Les deux premiers volumes donnent toute leur ampleur au cadre de ce commentaire. D’abord La Royauté du Christ sur son Église où nous avons d’abord la vision du Christ en gloire, puis les Sept lettres qu’il adresse aux Églises dont la sanctification et la victoire sont au cœur de ce livre.
Le second volume, L’ouverture du ciel, les sceaux et les trompettes, par des visions grandioses, dresse le cadre de cette bataille, la relation du ciel et de la terre, combat prodigieux des puissances célestes aux forces de la terre.
Ce troisième volume cherche à faire comprendre ce combat. Face aux deux témoins de l’Évangile de Jésus-Christ – l’esprit de la prophétie – se trouve le Dragon et ses deux alliés, la bête qui monte de la mer et qui domine les nations, et celle qui ayant l’aspect d’un agneau parle comme le Dragon. Il s’agit ici de l’esprit de mensonge répandu sur notre monde. Ce livre se termine avec les sept coupes de la colère de Dieu qui ouvre la voie à la destruction du mal, des méchants et la rédemption du peuple de Dieu.
Cette multiplication de tableaux, aussi majestueux que terribles, aboutit avec les chapitres 15 et 16 au troisième et dernier septénaire. Sceaux, Trompettes sont suivis des sept derniers jugements, les coupes de la colère de Dieu contre le mal.
La prophétie aboutit au jugement dernier, illustré par la chute de Babylone (ch. 17 et 18). Puis vient la victoire du Christ sur les deux bêtes et sur le Dragon lui-même (ch. 19 et 20). Le chapitre 20, (le millénium), donne l’ultime synthèse « récapitulatrice » de l’histoire de l’Église.
L’Apocalypse de Jésus-Christ se termine par la disparition d’un cosmos irrécupérablement corrompu et la manifestation de la nouvelle Jérusalem, l’Église dans toute sa splendeur ainsi qu’une nouvelle terre et de nouveaux cieux où, enfin, la justice habitera. Cela sera l’objet, Dieu voulant, d’un quatrième volume.